fbpx

Je ne dérange pas les souvenirs – Caroline De Freitas

14,70 

Entre amour, tristesse, force, colère et résilience, Caroline De Freitas nous propose un émouvant témoignage poétique sur la présence au départ de l’Autre. L’auteure nous parle de cette réalité de la fin de vie dans un texte qui mêle l’intime à l’universel.
Écrire la disparition lorsque l’absence se dessine et nous amène à nous redéfinir.
Ici, les mots y sont jetés, déposés, saisis comme on saisit des restes de vie après la mort.
Dans un élan de vie fort et dans une veine d’écriture poétique actuelle, cette poésie se veut percutante et douce-amère.

Née le 06 mars 1986 à Arles, Caroline De Freitas grandit au cœur du massif des Alpilles dans le village des Baux-de-Provence. En pleine garrigue et au chant des cigales, elle est très tôt invitée à la nature, aux langues étrangères et au monde du sensible. Aux côtés de sa mère qui fut la dernière postière du village, elle commence à écrire des poèmes dès l’enfance. C’est aussi à travers la danse et le chant qu’elle apprend à déployer la sensibilité, la rage et l’amour qui l’habitent.
Après de nombreuses années passées à Berlin, elle vit aujourd’hui à Lille où elle travaille comme enseignante de Lettres Modernes et de Français Langue Seconde.

Catégorie :

Entre amour, tristesse, force, colère et résilience, Caroline De Freitas nous propose un émouvant témoignage poétique sur la présence au départ de l’Autre. L’auteure nous parle de cette réalité de la fin de vie dans un texte qui mêle l’intime à l’universel.
Écrire la disparition lorsque l’absence se dessine et nous amène à nous redéfinir.
Ici, les mots y sont jetés, déposés, saisis comme on saisit des restes de vie après la mort.
Dans un élan de vie fort et dans une veine d’écriture poétique actuelle, cette poésie se veut percutante et douce-amère.

Née le 06 mars 1986 à Arles, Caroline De Freitas grandit au cœur du massif des Alpilles dans le village des Baux-de-Provence. En pleine garrigue et au chant des cigales, elle est très tôt invitée à la nature, aux langues étrangères et au monde du sensible. Aux côtés de sa mère qui fut la dernière postière du village, elle commence à écrire des poèmes dès l’enfance. C’est aussi à travers la danse et le chant qu’elle apprend à déployer la sensibilité, la rage et l’amour qui l’habitent.
Après de nombreuses années passées à Berlin, elle vit aujourd’hui à Lille où elle travaille comme enseignante de Lettres Modernes et de Français Langue Seconde.

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Je ne dérange pas les souvenirs – Caroline De Freitas”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Panier